Parue dans Maud Mannoni, Ce qui manque à la vérité pour être dite, Paris, Denoël, 1988, p. 188.

 

J’avais donc reçu une lettre où il ne s’agissait pas au premier chef de m’emmerder. J’ai failli t’en remercier en ces termes.

Et puis les choses ont repris leur cours.

 

Donne-moi quelque chose pour Scilicet. C’est évident qu’il faut que tu y sois et Dominique s’il veut aussi.

N’as-tu pas déjà assez fait pour Wilden ?

Je reviens peut-être reposé, t’aimant bien.

 

J. L.

 

Ce 30-VIII-70