Parue dans Maud Mannoni, Ce qui manque à la vérité pour être dite, Paris, Denoël, 1988, p. 189.

 

 


Bien chère Maud

 

J’approuve ton texte dans son équilibre, dans sa forme, dans la mesure.

 

Si tu me permets

 

J. Lacan

 

Ce 1er III . 71

 

P. S. J’ose dire qu’une des faces de mes regrettées « présentations » de malades est de démontrer ce qu’ils doivent pour la plupart en fait de ravages à leur prise en charge dite médicale. Oh là là… C’est un point que tu touches et que tu fais fort bien sentir. Entre autres.

Il paraît pourtant que, ce faisant, je ne leur nuis pas. Me dit-on. Et même que « le service » goûte mal cet effet. Enfin…