7ème Congrès de l’École freudienne de Paris, à Rome. Paru dans les Lettres de l’École freudienne, 1975, n°16, pp. 360-361.

 

(360)a. verdiglione – La parole est au Dr Lacan.

 

j. lacan – Je vous ai invités, à l’ouverture de ce congrès, au nom d’une certaine formule concernant le message, à vous remercier vous-mêmes. À sa clôture, je vous remercie. Je vous remercie pour ce que j’ai appris, ce que j’ai appris dont il est forcé que je ne sois pas toujours informé. J’ai appris beaucoup sur le travail de chacun. J’ai appris que sans doute il faudra que je continue à dire ce qui, je crois, peut vous éclairer puisqu’aussi bien j’en ai tellement de retour et de récompense.

Je voudrais remercier Muriel Drazien qui a été celle grâce à quoi tout ce qui s’est passé à Rome a fonctionné, d’une façon qui sans doute, comme tout fonctionnement, ne va pas sans qu’on puisse y adresser des reproches. Mais ce que je souhaite, à propos de la remarque qu’ici il y avait trop peu d’Italiens, c’est une remarque incontestablement juste, j’ai regretté en effet qu’il y en ait si peu, ce que je souhaite, c’est que dans l’avenir quelque chose se forme où les Italiens puissent entendre la façon dont nous (361)concevons l’analyse, c’est-à-dire, je crois, la bonne.

(Applaudissements)

(La séance est levée).