Interventions dans la séance de travail sur « Les concepts fondamentaux et la cure : sur le rêve. Maison de la chimie, Paris. Lettres de l’École freudienne, 1976, n° 18, p. 35- 40.

[…]

Lacan – Comment pouvez-vous fixer dans l’Autre le désir de je ne sais quoi ?

[…]

Lacan – […] (inaudible) […] Vous saviez très bien ce que vous voulez dire en disant que se faire reconnaître, vous saviez que c’était une façon…mais je ne sais pas si c’est la meilleur façon […]

Ça m’incite à le préciser, j’essaierai de le faire puisque je suis là en somme pour voir comment les choses que je dis sont entendues, j’essaierai de préciser un peu plus cela, en ce sens que c’est en somme heureux que vous l’ayez dit comme ça.

[…]

Lacan – La question de Stoianoff reste très pertinente.

[…]

Lacan – Ça me paraît très éclairant, ce que vient de dire Conté

[…]

Lacan – Quel est le mot en allemand pour nœud ?

[…]

Lacan – Il est très frappant que Freud ne puisse pas, à propos de l’ombilic du rêve, faire autrement que d’évoquer cette autre métaphore, à savoir le mycélium, c’est-à-dire la moisissure.

Je m’en sens renforcé dans ce que j’ai dit au séminaire de cette année si je m’en souviens bien, sur la référence à la sexualité des bactéries.

Je l’ai fait d’ailleurs en sachant que je me rapportais à cette métaphore du mycélium.